Saran Saran

Invité

Saran

Elle s'appelle Saran cette enfant-là,
L’enfant du fruit de l'amour
Qu'on attendait depuis toujours.
Un amour de bébé
Qu'on voit gambader,
Toujours le cœur à rire
Mais jamais à pleurer,
Sa frimousse arrondie
Aux joues de poupée,
Une métisse au sang mélangé
À l'oriental.
Ses grands yeux noirs malicieux
Et son sourire enjôleur
Nous émeuvent,
C’est le cœur d’une mère
À la voir si émerveillée,
Elle n'a de regard que pour l'enfant
Quelle a tant souhaité.
La pureté de son âme nous reflète
L’enfance retrouvée,
Nous fait jubiler, nous apprivoise.
Et ses cheveux frisés
Descendent le long de son dos,
Comme un ange au soir de Noël,
C'est un cadeau du ciel.
Ses mains aux rondeurs de bébé
Nous embrassent, nous cajolent.
De ses cris, de ses joies, de ses pleurs
Elle nous appelle,
Le sourire d'un enfant
Ne sera jamais aussi grand que l'océan.
Mais quand elle dort avec les anges,
Parfois un cri mélodieux la réveille
Au milieu de son profond sommeil,
Puis elle se rendort dans l'insouciance.
Elle nous fait rire aux éclats
De ses paroles mal ajustées,
Sans rien comprendre de ses mots mêlés,
Cherchant à manger comme les grands,
Et marchant pas à pas à côté de son papa,
Voilà qu’elle a grandi la petite Saran…

Et son sourire enjôleur
Nous émeuvent,
C’est le cœur d’une mère
À la voir si émerveillée,
Elle n'a de regard que pour l'enfant
Quelle a tant souhaité.
La pureté de son âme nous reflète
L’enfance retrouvée,
Nous fait jubiler, nous apprivoise.
Et ses cheveux frisés
Descendent le long de son dos,
Comme un ange au soir de Noël,
C'est un cadeau du ciel.
Ses mains aux rondeurs de bébé
Nous embrassent, nous cajolent.
De ses cris, de ses joies, de ses pleurs
Elle nous appelle,
Le sourire d'un enfant
Ne sera jamais aussi grand que l'océan.
très jolie poème merci
amie de la plume

Invité

merci ma chère vitta

» Ma soeur saran