L’albatros se reposer

Invité

L’albatros se reposait

J’étais là devant cet océan,
Je contemplais le coucher du soleil
En regardant la mer,
Avec les couleurs d'arc-en-ciel
Qui m'éblouissaient les yeux,
Quand soudain, surgissant du passé,
Un vaste oiseau blanc, ce géant d'albatros,
L’oiseau des mers,
Déployant ses deux grandes ailes blanches.
Il était si beau, je le voyais qui tournoyait,
L’oiseau vint se poser là, tout près de moi,
Il avait des yeux bleus couleur de l'océan
Et des plumes couleur d'un ange blanc.
Marchant le long de la rive, en tournant
Sur lui-même, il se posa là, tout près de moi.
Avec ses griffes, il agrippa ma main,
Il me laissa caresser son plumage.
Tout en caressant sa tête :
« Dis l'oiseau, emmène moi
Dans un pays où l'amour est roi,
Sur tes ailes au plumage blanc ».
Mais soudain, dans un bruissement
D’ailes, il prit son envol
Et regagna le ciel, claquant lentement des ailes.
En traversant les nuages, incompris par les gens
Qui l'entouraient, il voulut rester près de moi,
Pour s’endormir à tout jamais, mon bel oiseau,
Mon albatros, venu du fond des âges,
Pour s'échouer là sur la rive,
Après qu'un bateau fit naufrage.
J’avais froid, alors il ne restait plus rien
De cet albatros, mon bel ange blanc,
Il m'avait laissée là, seule
Sur la plage, avec mon chagrin…
Un beau jour, sur la Terre ou dans le ciel,
Je verrai ce bel ange blanc, Mon albatros !

D’aile prise son vole
en regagnant le ciel claquant lentement ces ailes
En traversant les nuages, non compris par les gens
Qui l'entourait il voulut rester près de moi
Pour s’endormir à tout jamais mon bel oiseau
Mon l'albatros, venus du fond des mers
Pour s'échouer là sur la rive après qu'un bateau fit naufrage,
très boooooooooooooooooo brvo nautrage d'un bisous

Invité

merci douce vitta